Charleville-Mézières : l'Etat refuse de protéger un ancien interprète afghan de l'armée
Menacé en Afghanistan pour avoir travaillé pour l'armée française,
Mohammad Basir Ibrahimi a fui son pays pour rejoindre la France.
Ses
démarches pour obtenir un visa restent vaines.
Le jeune interprète
hébergé dans un foyer pour migrants de Charleville-Mézières risque à
tout moment d'être expulsé.
D'août 2011 à septembre 2012, Mohammad Basir Ibrahimi travaille comme interprète anglophone pour l'armée française.
"Je voulais oeuvrer pour la paix", confie celui qui a grandi dans un
pays en proie à la guerre civile, puis sous la coupe du régime des
Talibans.
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